Etre une femme ingénieure en 2024 : formation, carrière, défis, équilibre vie personnelle et professionnelle

Le long de cette table ronde, nous avons pu noté quelques maximes et messages impactants, dont entre autres, une maxime de Brenda Bogmis : Queen, she believe she could, so she did (Reine, elle croyait pouvoir le faire, alors elle l’a fait). Pour elle, il est impératif de ne pas se limiter dans sa quête pour le succès. S’entourer de mentors comme elle le fait déjà. Elle avoue en avoir beaucoup qui l’aident à définir son plan de carrière. 

Comme toutes les panélistes, le Dr. jeanne loga nous a édifiée et émerveillée par son parcours. Elle qui évolue dans un domaine principalement dominé par les hommes, encourage le fait de travailler ensemble et aux femmes de ne pas délaisser leur féminité sous pretexte qu’elles évouluent dans un domaine technique. 

Josiane T. Tiedjou, crois en cette femme qui conjugue avec tout son potentiel pour investir sur elle afin de préparer une réussite qui ne saurait être impactée négativement par quelque évènement qui surviendrait dans sa vie, même pas la grossesse ou un congé de maternité. 

Pamela Azanfouet défend la passion et la résilience quand on évolue dans une discipline STEM. Elle encourage les jeunes filles à ne pas se laisser aveuglées par les interdits, mais de bien se former selon la passion et la vocation qui est la leur. Elle marque un accent sur le fait qu’en plus d’être sexy physiquement, nous les femmes scientifiques devrions avoir notre cerveau tout aussi sexy. 

Dans la même lancé que toutes, Joy Backbuin en pronant la patience et le travail acharné, elle qui évolue dans un domaine où la maitrise des aspects techniques du métier est impérartif pour trouver un emploi à la fin des études. Pour cela, il est nécessaire de pratiquer pendant les études à travers des stages (toujours pas facile à trouver).